Oyez, gens du Nord et d'ailleurs, des quatre coins de l'hexagone ou d'outre Quièvrain, d'outre Méditerranée, d'outre Atlantique, d'outre partout...
Oyez bien, braves gens...
Il est un lieu où il ne fait (presque) pas froid.
Il est un lieu où il ne pleut (presque) pas....
Ah, vilains bougres, vous avez omis de vous inscrire au stage de Lembrun !
Dimanche 15 juillet 2012
À Lembrun, il y a du nouveau, il y a aussi... du soleil !
L'histoire a commencé jeudi matin, aux aurores, quand j'ai pris la route pour Arvillard, en Savoie. Qu'allait-il donc faire là-bas ? Récupérer Mia qui ne manquerait pour rien au monde un petit séjour à Lembrun. Pourquoi jeudi, pour éviter les embouteillages, voyons, pourquoi toutes ces questions ?
L'histoire a continué ce matin, un peu après les aurores, sous forme d'une traverse de la France de l'est au sud-ouest à travers le Massif Central, où nous reçûmes des trombes d'eau, pour arriver en Dordogne sous un soleil éclatant et, en milieu d'après-midi, redécouvrir Lembrun, ses nouveautés et son climat radieux.
Bien fait pour ceux qui ne sont pas là.
Le nouveau bureau d'accueil, à l'entrée du domaine... Mais Marie-Claude n'a pas vraiment envie de s'éloigner du centre vital...
Entre le logis de Sensei 67 et celui de Sensei 76 apparaît une superbe structure, une fort belle charpente chevillée...
Daniel estime que ce serait un très joli Dojo de Kobudo. Il en sera pour ses frais, c'est là le très beau futur Zen Dojo.
Un arbre très, mais alors très zen et qui porte des fruits.
Le soir, le contrejour n'a pas changé de place.
Le soir, les stagiaires n'oublient pas l'apéro de bienvenue. Ah, oui, il y a du nouveau : le cours du matin se tiendra dorénavant de 8 h 30 à 11 h 30.
« C'est un scandale !, s'écrie Jean-Marc ». Quoi donc justifie son ire ? Les 3 heures de cours d'affilée ? Que nenni, il n'apprécie pas qu'il n'y ait plus qu'un seul petit-déjeuner... Probablement des ancêtres Hobbits ?
Lundi 16 juillet 2012
Pauvres stagiaires contraints de subir une quasi grasse matinée ! Pauvres Hobbits restreints à un seul petit déjeuner...
À 8 h 30, j’en ai compté presque 50... des stagiaires, pas de Hobbits, mon bon Jean-Marc ! Soit 5 Kodansha, 35 Yudansha et 7 kyu se demandant à quelle sauce ils seraient mangés surtout quand le Sensei leur a demandé s’ils étaient bien au courant que c’était un stage réservé aux Yudansha.
Sensei Floquet nous a décrit la tonalité qu’il comptait donner à ce stage. Il a d’abord tenu à préciser que nous étions des « artistes » car nous pratiquons un « Art Martial ». C’est le mouvement qui permet de comprendre la technique. Si on a compris le sens du mouvement, on peut pratiquer une multitude de techniques qu’on n’a jamais apprises.
L’échauffement est confié à Xavier. Pauvre Xavier, handicapé parce qu’il a pris une grosse pierre pour un ballon et qu’il s’est éclaté un orteil. Je lui ai promis de ne pas raconter qu’il s’était affalé lamentablement... Par contre, il faut bien reconnaître qu’il sait faire effectuer différents exercices sans en montrer un seul.
Le Sensei prend la suite sous forme d’étirements avant de prendre le cours en mains.
La mise en route s’effectue sous forme de quelques Tai Sabaki. Ensuite s’enchaîne une série de Tsuki :
- Choko Zuki en avançant, le coup est porté avec le corps
- Koshi Zuki sur place, en appui
- Hiki Zuki avec un léger retrait du corps
L’Aïkibudo s’exprime dans l’aspect défensif. L’attaque ne sert qu’à permettre de s’exprimer.
Les stagiaires effectuent la première partie de Tsuki Uchi no Kata en Kumitachi.
- Uke porte Choko Zuki -> Tori esquive avec la main homologue en effectuant O Irimi
- Uke porte Koshi Zuki -> Tori esquive avec la même main en effectuant un retrait du corps
- Tori porte Tsuki en avançant -> Uke riposte en effectuant Hiki Zuki
Le Sensei précise le sens de cet exercice. Les déplacements permettent une exécution en harmonie. Sinon, il ne servirait à rien de donner 3 coups de poing !
Exercice d’application :
- Choko Zuki -> O Irimi
- Koshi Zuki -> esquive sur place, opportunité de Kataha Otoshi
Les atémis doivent être efficaces pour permettre une « chorégraphie » correcte. La riposte se place dans le mouvement, c’est le prolongement de l’attaque.
- Choko Zuki -> O Irimi à 180° sinon Uke peut continuer à frapper.
- Tori repousse le bras de Uke et ramène sa main à la hanche, il applique Robuse Tenkan.
Pour affiner le sens du mouvement, Robuse est enchaîné en Hiji Gaeshi. On ne doit pas faire intervenir la force mais utiliser le mouvement de l’adversaire. Il n’y a pas confrontation mais complémentarité.
Un sport de combat a des règles, un cadre. L’Aïkibudo se pratique sans règle, sans cadre, il consiste à s’adapter harmonieusement. Uke produit des efforts, Tori les canalise sans s’y opposer. Il ne produit pas d’effort...
Les 5e, 4e et 3e dan démontrent leur compréhension de la canalisation et du mouvement sous forme d’un randori axé sur la première phase des exercices précédents.
Ils prennent les 2e et les 1er dan et leur font travailler le Kihon Nage Nidan.
Les 4e et 3e dan font travailler le Kihon Nage Shodan aux Kyu.
À 17 h, il fait déjà chaud dans le Dojo et le Sensei nous autorise à enlever le hakama. Il entreprend un entraînement « footing ». Xavier est chargé d’enchaîner avec un « randori touche-touche », objet d’assauts très énergiques.
Le pousse-pousse...
Notre Sensei entreprend un travail de fond autour de Tsuki Uchi no Kata. Il s’agit de percevoir le sens des déplacements : Tori s’inscrit en cercle à l’intérieur des attaques de Uke. Il insiste sur la fluidité du travail, il explique qu’il faut renoncer aux blocages et s’efforcer d’aboutir à la canalisation.
De longues séries de randori viennent conclure cette étude.
Et les stagiaires semblent éprouver une certaine lassitude...
Mardi 17 juillet 2012
La matinée naissante est splendide. Quelques brumes flottent sur le Lot déjà tout scintillant de soleil levant. Une douce fraîcheur nous a aidés à passer une nuit calme et reposante. Les stagiaires se dirigent vers le petit-déjeuner... Jean-Marc, fidèle aux usages de son ancêtre Bilbon, a décidé de consommer directement ses 2 petits-déjeuners puisque la pause de 10 h n’existe plus.
Au cours de 8 h 30, les stagiaires semblent plus nombreux. Sont arrivés Étienne, tout intimidé d’un Shodan tout neuf, Patricia, tout sourire, rayonnante de retrouver le tatami de Lembrun...
Pendant que le Sensei se concerte avec les Kodansha Sensei Dédé, Sensei DD et Sensei PPH, c’Étienne, tout intimidé d’un Shodan tout neuf, Patricia, tout sourire, rayonnante de retrouver le tatami de Lembrun...
Pendant que le Sensei se concerte avec les Kodansha Sensei Dédé, Sensei DD et Sensei PPH, c’est Prema qui dirige un échauffement dans le plus grand calme.
Ensuite, Xavier est chargé de proposer les éducatifs. « Mettez-vous par 2 et faites Nigiri Kaeshi ! » ordonne-t-il sans plus de fioritures... Il donnera quand même quelques précisions, insistant notamment sur le travail des jambes (pas de jambes raides !) et sur la verticalité du tronc.
Le Sensei a délégué la matinée aux Kodansha sous la supervision de Sensei Dédé.
Le cours est donc pris en mains par Sensei DD, à ne pas confondre avec Sensei Dédé (appellation réservée aux familiers dudit Sensei).
Correction des postures :
- descendre sur les jambes, rechercher un appui avant plutôt qu’arrière
- travailler dans l’axe, rester face au partenaire (danger de l’épaule trop avancée)
- effectuer de grands mouvements circulaires avec le bassin, pas avec les bras.
Travail technique en distance Chika Ma à partir de Nigiri Kaeshi
Robuse
- engager le corps
- pousser en diagonale
Shiho Nage Tenkan suivi d’une immobilisation (Sensei DD ayant bobo au genou, il applique une immobilisation type Daïto Ryu)
Sensei PPH prend momentanément le relais pour préciser quelques points techniques notamment celui du porte-à-faux. Uke doit prendre contact avec le sol au niveau des épaules. Tori place son genou tout de suite pour fixer Uke et l’immobiliser en toute sécurité.
Yuki Chigae, entrée symétrique de celle de Shiho Nage, entrer en avançant dans le prolongement de la ligne des épaules de Uke.
- action sur les doigts en translation
- action sur la main en rotation
Kote Gaeshi
- Neji pour les Yudansha
- Flexion pour les Kyu
Le cours se poursuit avec un travail en distance Ma. Xavier prend en main le cours pour les Kyu : techniques Shodan sur Ryote Ippo Dori. Sensei DD continue l’étude de Neji Kote Gaeshi sur Ryote Ippo Dori.
On observe un problème général : relâchement de la saisie d’où absence de déséquilibre.
À 17 h, il commence à faire très chaud dans le dojo. Un mini échauffement est toutefois confié à Sophie.
Le Sensei propose un éducatif sur Ryote Ippo Dori : centrer, entrer (poussée de la main saisie en équilibrant avec le bras arrière, possibilité d’entrer Kata Nage). L’objectif est de solidariser les muscles du dos.
Application en ramenant par-dessous : Mukae Daoshi, Kote Gaeshi.
Même entrée : Uchi Mata puis enchaînement sur Uchi Mata Gaeshi.
Enchaînement sur Uchi Mata Gaeshi
Pour finir la séance, pour consoler Jean-Marc qui a un bobo à l’oreille, le Sensei lui propose de faire travailler une technique de son choix. Jean-Marc est ravi et, enthousiasmé, choisit Mae Tobu Nage.
Mercredi 18 juillet 2012
8 h 30. Matin calme. Sensei Martin convie Sensei Floquet et ses Kodansha à une cérémonie du thé « amicale ».
Pendant ce temps, Bruno est chargé de l’échauffement. Le mercredi marque le milieu u stage, c’est aussi le jour de tous les dangers car une fatigue rôde insidieusement sur le tatami. Baisse du tonus musculaire, vigilance assoupie... Les cadres devront faire preuve d’un maximum d’attention !
Sensei Floquet reprend le thème de Nigiri Kaeshi. Hier, nous avons recherché la fluidité dans le mouvement circulaire. Aujourd’hui, il propose une stratégie à appliquer en face d’une force puissante et statique : « Si la montagne ne vient pas à toi, va à la montagne »...
Sur la saisie Ryote Ippo Dori, aller vers la saisie, créer un point d’appui fixe sur lequel tourner en effectuant Nagashi, renverser comme Ura Mukae Daoshi.
Daniel présente l’application Robuse en Irimi et Tenkan.
Paul-Patrick explique avec précision Ude Kansetsu.
Le Sensei montre une technique sur Mae Geri avec entrée comme dans le Kata. Il continue le cercle pour porter Ushiro Kata Otoshi suite à un double O Irimi.
Ensuite, Prema démontre sur la même attaque le placement de Ushiro Hiki Otoshi.
Attention au placement du déséquilibre (traction dans la ligne des épaules) sinon on redonne la force à Uke.
Uke attaque à droite et à gauche, Tori conservant la même garde : entrée intérieure et extérieure.
Vincent démontre Shiho Nage Tenkan sur la même attaque Mae Geri.
Le Sensei explique que le but de ce cours est d’apprendre à utiliser son corps. Quand le sens du mouvement est acquis, les techniques paraissent faciles.
Il propose un travail sur Jyunte Dori en distance Ma :
- Shiho Nage Irimi et Tenkan
- Shiho Nage Omote Irimi et Omote Tenkan
À 17 h, il fait très chaud. Vraiment très chaud. Un léger échauffement est proposé : Oshi Kaeshi à genoux puis debout.
Ensuite, Paul Patrick enchaîne sur l'étude de Happoken Kata. Il ajoute quelques éducatifs pour comprendre Gedan Barai.
Le Sensei conclut le cours par la révision de quelques techniques étudiés depuis lundi.
De 21 h à 23 h, le Sensei tient une conférence informelle sur l'histoire de l'Aïkibudo et répond aux questions...
Il est tard et il fait vraiment très chaud !
Jeudi 19 juillet 2012
C’est un ciel délicatement voilé qui nous accorde un réveil feutré. Certes, au petit-déjeuner, Xavier et Daniel sont toujours aussi médisants mais avec plus de mesure dans leur humour dévastateur qui a provoqué quelques éclats de rire propres à intriguer le Sensei venu prendre son café et ses tartines près de ses Kodansha préférés (en général, ce sont ceux qui sont présents et qui se livrent à des assauts de flatteries sans réserve).
8 h 30. Le Sensei est taquin et propose à titre d’échauffement des éducatifs d’autrefois, de ceux que tous n’osaient pas faire mais que ceux qui osaient les faire sont maintenant tout cassés alors que ceux qui n’osaient pas ne sont même plus là alors tant qu’à faire, les plus jeunes n’ont qu’à essayer de les faire, il faut assurer la relève. Vous avez bien compris ?
Une petite tournée de Tai Sabaki, un petit coup d’enchaînements Mae Geri Tsuki et on peut passer aux choses sérieuses.
La première partie de la matinée sera consacrée au Wa no Seishin (la technique divine de Takeda Sokaku).
Ryote Dori Wa no Seishin. Les mains se placent comme pour Oshi Kaeshi, à l’intérieur. Une deuxième forme est possible, la main extérieure étant paume vers le sol...
Pour une explication du Wa no Seishin, on peut dire qu’il s’effectue sans rupture, dans le prolongement de l’attaque de Uke.
Le Wa no Seishin s’appliquant en distance Ma, la distance idéale de l’Aïkibudo, comment l’effectuer sur une saisie arrière ?
Il faut rappeler que les Te Hodoki, les techniques pratiquées en Chika Ma font partie du « pré-Aïkibudo ». Leur but est l’apprentissage de l’utilisation, du placement de la force.
Sur une tentative de saisie en Dosokute Dori, Tori se déplace latéralement puis entre en diagonale de façon à faire pivoter Uke qui se place derrière lui et peut tenter de le ressaisir en Ushiro Ryote Dori, par exemple. Tori s’efface et fait chuter Uke.
Dans la pratique courante, il faut se contenter de faire avant de réfléchir et chercher à comprendre. Un enfant ne réfléchit pas quand il apprend à marcher, il fait des essais jusqu’à ce qu’il parvienne à maintenir son équilibre...
À la mi-temps du cours, les stagiaires se partagent en 2 groupes :
- les Kyu vont continuer l’étude des Wa no Seishin avec Paul-Patrick et Xavier.
- les Yudansha vont étudier les Han Sutemi avec Daniel.
Le Sutemi se travaille comme le Wa no Seishin, en distance Ma. Il se différencie totalement du Sutemi Judo qui se pratique en Chika Ma...
Les Sutemi ont été enseignés à Mochizuki Minoru Sensei par Mifune Kyuzo qui, bien que très âgé, pratiquait un Judo particulièrement fluide qui faisait penser à de l’Aïkibudo !
Daniel aborde les Han Sutemi pour aboutir au Sutemi proprement dit.
Hazu Oshi Han Sutemi
Harite Sutemi
Gyaku Ude Kake Sutemi
O irimi Kubi Jime
17 h. Après-midi voilée d’une fine couche de nuages, suffisante pour atténuer la chaleur mais suffisante également pour laisser de redoutables UV...
Paul-Patrick propose un échauffement autour des 2 dernières saisies étudiées le matin par les Kyu. Ce sera donc Te Hodoki sur Ushiro Uwate et Ushiro Shitate.
Le Sensei enchaîne sur une étude très précise des Te Hodoki de face. L’intérêt du Te Hodoki est d’apprendre à travailler sur la force de l’adversaire. Ces notions seront mises à profit dans la pratique effective de l’Aïkibudo, en distance Ma.
Vendredi 20 juillet 2012
La matinée semble paisible et prête à se teinter de sérénité. L’avenir démentira cette prémonition.
8 h 30. L’échauffement est confié à Xavier qui est animé d’un esprit quelque peu taquin.
Parmi les exercices proposés :
- 2 partenaires assis dos à dos, bras entrecroisés, doivent se relever. Le couple Sébastien / Prema est plutôt intrigant et, pourtant, fonctionne !
- 4 partenaires assis dos à dos, etc...
Le Sensei a arrêté Xavier avant qu’il ne place tous les stagiaires en cercle, bras entrecroisés...
Xavier se contente donc de conclure cet échauffement avec un exercice de roulades arrière provoquées en effectuant Oshi Kaeshi.
- Julien démontre Muna Dori Mukae Daoshi pour les Kyu.
- Bruno démontre Muna Dori Ushiro Hiki Otoshi pour les Yudansha.
Le Sensei insiste sur l’amplitude à donner au mouvement. Toutes sortes de situations de stress conduisent à réduire cette amplitude. D’un grand mouvement il restera toujours quelque chose. De petits mouvements il ne restera rien.
Pour le passage à la distance Ma :
- Jocelyne démontre Muna Dori Mukae Daoshi
- Vincent démontre Muna Dori Gyaku Do Gaeshi
Puis le Sensei fait évoluer la technique avec Gyaku Te Uchi Mata Gaeshi pour les Yudansha et Kote Gaeshi flexion, Shita et Goshi pour les Kyu.
Pour finir les stagiaires se séparent en 3 groupes, Yudansha, 1er dan et Kyu pour le travail en Randori canalisation.
Dimanche 21 juillet 2012 NON ! nous sommes Samedi 21 juillet 2012 !
Hmmmm... La soirée a été très chaude... Et ce matin, comme à chaque fin de stage, nos amis ont bien du mal à se décider à partir... Ils ne cessent de passer dire au revoir...
Hier soir, le dernier cours a été consacré à la pratique des armes. Jeu d’agilité avec le bokken. Tanto no Kata. Un peu de défense avec le Tambo pour initier les néophytes au doux contact du bois sur les poignets. À ma connaissance, ils n’ont pas été déçus.
En final, nous avons assisté au passage de 2e dan des deux « ravissantes » représentantes de la Tchéquie. J'emploie le terme ravissantes notamment pour décrire le ravissement qui nous a saisis devant la qualité de leur prestation.
Nous n’avons pas sacrifié au rituel de la photo de groupe car plusieurs stagiaires sont partis jeudi soir. En échange nous avons constitué une petite collection de photos « régionales ».
La Normandie vous salue bien.
Cet après-midi, je me suis étonné du fait que les stagiaires tardaient à arriver... Et puis j'ai réalisé que nous étions samedi et que j'avais dû commettre une erreur dans mon compte-rendu de ce matin... ce que m'a confirmé Cricri dans un message me reprochant mon étourderie... Je le rectifie donc : nous sommes bien Samedi 21 juillet 2012. Je confirme également que je vais tâcher de bien dormir cette nuit pour avoir les idées claires dès demain soir.
