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9 décembre 2005 5 09 /12 /décembre /2005 17:53

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Cet espace n'est un pas forum, comme il en existe tant... Il est ouvert à ceux qui sont intéressés par la pédagogie ou par la "petite" histoire de notre Art. Je pourrai répondre à vos questions dans la limite de mes compétences et de mes connaissances.

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9 décembre 2005 5 09 /12 /décembre /2005 15:21
Il s’agit d’un ensemble de connaissances censées être communes à tous les pratiquants. Elles constituent un socle sur lequel il est possible de bâtir le programme d’enseignement à chaque niveau.
Quand la maîtrise attendue à un niveau est atteinte, les techniques du programme propre à ce niveau peuvent se mettre en place sans difficulté.
Ces compétences permettent d’accéder à un travail dynamique, utilisant la force dans une recherche de fluidité afin de percevoir la notion de mouvement.
 
 
 
 
 
Fiche pédagogique n° 1
Savoir se déplacer en harmonie (Kamae, Tai Sabaki, Zanshin)
Il s’agit de bien appréhender les notions de garde, de tempo, de modération, de vigilance
-          maîtrise de O Irimi avec 1 puis 2 ou plusieurs adversaires
-          randori esquive
-          randori canalisation
-          randori technique (application de O Irimi sur 3 attaques fondamentales : ura yokomen uchi, omote yokomen uchi et tsuki chudan)
 
Fiche pédagogique n° 2
Savoir entrer (la distance Ma, de la distance To Ma à la distance Ma)
Il s’agit d’exprimer l’esprit de décision, la volonté
-          maîtrise de Irimi sur les attaques fondamentales (entrée directe), exemples :
-          Shomen Uchi Robuse
-          Tsuki Jodan Mukae Daoshi
-          Ura Yokomen Uchi Mukae Daoshi
-          Omote Yokomen Uchi Ushiro Hiki Otoshi
-          Tsuki Chudan Ude Kake Ushiro Hiki Otoshi
-          Tsuki Chudan Ude Kake Mae Hiki Otoshi
-          Wa No Seishin forme Irimi sur Jyunte Dori et Ryote Dori
 
Fiche pédagogique n° 3
Savoir utiliser la force (Te Hodoki : mettre un partenaire statique en mouvement)
Il s’agit d’harmoniser l’emploi de la force et la recherche de la fluidité
-          les aspects techniques de la mise en place d’un Te Hodoki (garde, appuis, intention de Uke)
-          les éléments techniques de l’exécution (placement de la force, neutralisation de l’intention d’attaque, déséquilibre, notion de Te No Michibiki, atémi ou technique adaptée)
-          les applications techniques adaptées, exemples :
-          Jyunte Dori : Shiho Nage, Kote Gaeshi, Mukae Daoshi, Yuki Chigae
-          Dosokute Dori : Kote Kudaki,
-          Ryote Ippo Dori : Shiho Nage, Yuki Chigae, Juji Garami
-          Ushiro Eri Dori : Yuki Chigae / Shiho Nage, Kote Gaeshi / Robuse
-           de la position statique au mouvement, de la distance Chika Ma à la distance Ma
-          de Dosokute Dori aux saisies arrière
-          Wa No Seishin sur Ushiro Uwate et Ushiro Ryo Sode,
-          le randori Te Hodoki
 
Fiche pédagogique n° 4
Te No Michibiki : déséquilibre dans le plan sagittal autour de Nigiri Kaeshi
Il s’agit de savoir placer la force dans l’abdomen pour mobiliser l’adversaire, l’index indique la direction de son déplacement…
-          les aspects techniques de la mise en place de Nigiri Kaeshi
-          de Nigiri Kaeshi au Te Hodoki
-          les techniques "symétriques" (Yuki Chigae et Shiho Nage)
-          les Wa No Seishin
-          du Wa No Seishin au Koshi Nage
 
Fiche pédagogique n° 5
Te no Michibiki : déséquilibre dans le plan scapulaire autour de Oshi Kaeshi
Il s’agit de savoir utiliser les différentes articulations du bras pour placer l’adversaire en déséquilibre
-          les aspects techniques de la mise en place de Oshi Kaeshi
-          les aspects techniques de ryote dori Wa No Seishin
-          mains « au-dessus », repousser sans saisir
-          mains « au-dessous », entraîner en saisissant
-          de la technique de base à la technique élaborée, suite de techniques : le Kaeshi Waza
-          rôle de Tori (Uke faible) : Kaeshi Waza en enchaînement
-          rôle de Uke (Tori faible) : Kaeshi Waza en renversement
 
Fiche pédagogique n° 6
Emono Waza : utilisation des armes (tanto, tambo, bo)
Il s’agit de percevoir la relativité de la notion de distance et de faire sentir la notion de danger
-          les kata simplifiés
-          défense contre armes (rôle des kansetsu waza, leur place dans le randori)
-          utilisation des armes à des fins éducatives
 
Thème transversal : maîtriser l’espace et l’environnement, les diverses formes de randori
C’est l’application pratique des notions de garde, tempo, vigilance, organisation
-          avec 1 partenaire : expression libre ( du type shiai)
-          avec 2 partenaires : travail en symétrie
-          avec plusieurs partenaires : utilisation de l’espace, vigilance de Uke
-          en cercle : test du self-contrôle (accepter d’être observé)
 
Les techniques de base
Ce sont les techniques élémentaires sur lesquelles on peut construire le programme à chaque étape de l’évolution
-          Ushiro Kata Otoshi et sa variante Ushiro Kiri Otoshi
-          Les entrées : techniques intérieures et techniques extérieures
-          Ura Yokomen Uchi Mukae Daoshi
-          Omote Yokomen Uchi Shiho Nage
-          Shomen Uchi et Ura Yokomen Uchi Robuse
-          entrée du type Kote Gaeshi
-          entrée du type Yuki Chigae
-          les entrées symétriques
-          le couple Shiho Nage / Yuki Chigae
-          applications techniques sur Ushiro Eri Dori
-          l’esprit Sutemi : Tsuki Chudan Ude Kake Ushiro Hiki Otoshi et Ude Kake Mae Hiki Otoshi
-          Les deux formes de sortie sur les saisies arrière
-          Les Wa No Seishin
-          Les Koshi Nage (formes debout et genou au sol : ménager la colonne vertébrale)
-          Immobilisations et contraintes (Osae Waza et Kansetsu Waza)
-          Kaeshi Waza en enchaînement et Kaeshi Waza en renversement
 
N.B. Les 6 premiers chapitres correspondent aux 6 fiches pédagogiques jointes, qui ont servi de support technique au stage Aïkibudofest 2005.
 
 
 
 
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8 décembre 2005 4 08 /12 /décembre /2005 14:46

Je suis né le 13 mai 1941 à Blangy-sur-Bresle, à cheval sur la Normandie et la Picardie, au lieu-dit le Moulin aux armures… Nom prédestiné !

C'est le 2 septembre 1964 que j'ai timidement poussé la porte d'entrée de l’École de Judo Jean Lemaître, ne sachant pas trop ce qui m'attendait...

Je découvris ce que je cherchais en janvier 1965, quand s'ouvrit une section d'Aïkido Yoseikan. Je m'entraînai alors comme un forcené 6 jours par semaine. Je suivis un mois de stage à Royan, Judo et Aïki, en 1966 et en 1967 et je fus admis au grade de 1er dan le 23 mars 1969.

Au mois de juin, j'accompagnai au Shodan un "vieux" monsieur (il avait plus de 40 ans...) pas très doué. L’examinateur était un jeune 5ème dan, Alain Floquet. J’assistai à une magnifique leçon de pédagogie et d'humanité, car il parvint, à force de calme et de gentillesse, à mettre mon condisciple en confiance et à lui permettre de donner le meilleur de lui-même... J'ai toujours suivi cet exemple, chaque fois que j'ai été membre d'un jury, quel qu’il soit

 

-     Septembre 1969 : je fonde mon premier club, la section Aïkido Yoseikan de l'Amicale de Malaunay, aujourd'hui disparue. Je me fais connaître dans la Ligue de Normandie FFJDA, à force de démonstrations dans toutes les réunions de Judo.

·      11, 12 et 13 décembre 1970 : la Ligue nous offre un stage au CREPS d'Houlgate. Je demande Alain Floquet comme directeur technique. Il me délivre le 2ème dan le 13 décembre.

·     Janvier 1971 : Alain Floquet m’invite à participer aux cours du samedi à l’ASPP (rue Massillon). J'y vais autant que possible une fois par mois. Il m’initie au kendo.

·     Juillet 1971 : 2 semaines de stage à Beauvallon (Aïki et Kendo), sous la houlette de mon nouvel ami et Maître. Je rencontre un Hollandais super-doué, Teunis Tromp, 5ème dan de Judo et de Karaté, et mon vieil ami Edmond Royo.

·     20 décembre 1971 : l'école Yoseikan subit un véritable coup d'état dont elle ne se relèvera jamais. Alain Floquet doit abandonner ses responsabilités nationales. La Haute-Normandie lui restera fidèle envers et contre tous.

·    Juillet 1972 : stage à Dieppe, j'anime la première semaine et Alain Floquet la deuxième. Une solide délégation hollandaise est menée par Teunis Tromp, déjà promu 1er dan.

·    Septembre 1972 : j'ouvre la section Aïkido Yoseikan de l’USC Bois-Guillaume, qui sera honorée du titre de plus grosse section de France en 1980!

·    26 décembre 1972 : je reçois le 1er dan de kendo.

·    1973 : une série d'émissions télévisées me fait connaître dans l'Eure, et j'ouvre la section d'Arts Martiaux de Bernay.

·    19 mai 1973 : Hiroo Mochizuki me délivre le 3ème dan.

·    1er décembre 1973 : le président de la FFJDA et le président du Comité National d'Aïkido nous imposent le programme de l’Aïkikai, la méthode nationale! Les faux amis abandonnent Alain Floquet pour obtenir d’éphémères responsabilités ou pour pratiquer le Yoseikan Budo...

·    1974 : après avoir essayé honnêtement de jouer le jeu de la méthode nationale, Claude Jalbert, Alain Floquet et moi, nous nous rencontrons tous les mois afin de tenter de reconstituer, avec une nouvelle appellation, le défunt groupe Yoseikan. Le 6 décembre voit la création officielle du CERCLE D’ÉTUDES ET DE RECHERCHE SUR L'AÏKIDO.

·    Mars 1975 : je prends contact avec les dirigeants de la FFAD, dissidents de la FFJDA.

·    Juillet 1975 : délégué par Alain Floquet, je dirige le stage de Saint Raphaël et inscris au CERA les nombreux Hollandais présents.

·    Septembre 1975 : je fais adhérer la Haute-Normandie à la FFAD, après en avoir avisé mon Maître.

·    Noël 1975 : je dirige un stage à Den Haag (La Haye), le CERA hollandais est déjà organisé...

·    17 septembre 1978 : Alain Floquet me délivre le 4ème dan.

·   Septembre 1980 : je fonde la section Bourdeny Aïki-Kobudo. Je crée le cours du samedi ouvert à l'ensemble des 1er kyu et des Yudansha de la Ligue. C’est une véritable École des Cadres d'Aikibudo et de Kobudo (qui a remplacé le Kendo à partir de 1976)

·    2 septembre 1985 : Alain Floquet me délivre le 5ème dan.

·    Août 1986 : le Maître Sugino me délivre le 2ème dan de Kobudo Katori Shinto Ryu, 10 ans après que j'en aie ouvert le premier cours à Bois-Guillaume.

·    Juillet 1989 : j’anime mon premier stage au Québec. J’y suis retourné tous les ans jusqu’en 1993. Cette année-là, divers événements m’ont obligé à interrompre nos échanges.

·    5 mai 1991 : Alain Floquet me délivre le 6ème dan. Quel parcours depuis le jour où j’ai poussé la porte d'un club de Judo pour la première fois !

 

Depuis l'ouverture de mon premier club, j'ai vu passer près de mille cinq cents personnes venues s'essayer aux Arts Martiaux, j'ai formé plus de soixante ceintures noires, jusqu’au 5ème dan.

Alain FLOQUET est mon ami depuis maintenant trente-cinq ans. Le temps, les événements nous ont éloignés, nous avons perdu le contact. J’ai douté. A la fin de la saison 1997, j’ai éprouvé le besoin de découvrir d’autres horizons. Je me suis mis en réserve de l’Aïkibudo. J’avais projeté un très long périple à pied, avec mon âne, à destination du cap Finisterre, au bout de la Galice. Le destin me l’a refusé et je me suis retiré sur ma montagne, dans le pays de Bray.

À la demande de mon Maître, j'ai continué à participer aux stages des Kodansha. J'ai repris contact avec le tatami haut-normand à l'occasion du stage national à Bernay, en 2000. J'étais inquiet, et puis, au fur et à mesure que le cours se déroulait, j’assistais à l’enseignement de mes techniques favorites, j’entendais exposer les thèmes auxquels je suis attaché, comme si Alain Floquet avait voulu présenter un condensé de mes grands principes pédagogiques…

L’année suivante, lors du stage national de 2001, mon maître m’a demandé d’accepter les fonctions de Conseiller Technique Inter-Régional. J’ai entrepris un cycle de cours dans les clubs qui me le demandaient. Tous les pratiquants de la Haute-Normandie et d’ailleurs y ont été régulièrement invités mais bien peu se sont déplacés.

À la fin de l’année 2004, mes amis québécois m’ont proposé d’encadrer un stage, à l’occasion d’une grande fête de l’Aïkibudo organisée par la Fédération Aïkibudo Québec à la rentrée de la saison 2005 / 2006.

 

Après une longue absence, je suis revenu cet été au stage du Temple-sur-Lot et j’ai constaté que j’étais toujours solide et en parfaite harmonie avec l’enseignement de notre bon Maître. J’ai pu m’envoler pour Montréal le 12 septembre avec une confiance retrouvée. J’ai dirigé le stage de l’Aïkibudofest 2005 du 15 au 18 septembre et je crois que ce fut une réussite.*

 

Aujourd’hui, il est temps que je sorte de ma retraite. Des kodansha, la Haute-Savoie, le Québec ont entrepris de m’en persuader. Et j’ai de nouveau envie de partager mes connaissances.

 

* compte-rendu de l’Aïkibudofest 

site de Mario Pelletier :     http://pages.videotron.com/shukaijo/Bienvenue.html  

site de la Fédération Aïkibudo Québec : http://www.aikibudoquebec.org/

 

 

 

 

 

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8 décembre 2005 4 08 /12 /décembre /2005 14:33

Ce fut un réel plaisir de recevoir au Dojo de Saint-Léger-du-Bourg-Denis une trentaine de stagiaires de différents clubs de Haute-Normandie, parmi lesquels des yudansha de haut niveau, compagnons "historiques", au premier de la série des 7 cours programmés pour la saison 2005 /2006. Une grande attention, une vraie ardeur au travail ont permis d’établir un premier contact très positif. Un seul regret : la durée limitée du cours qui aurait nécessité plus que les 2 heures imparties.

Cette série de cours a pour but, au-delà d’une remise à jour technique permanente, de donner des outils pour accéder à l’aisance, à la disponibilité, ce qu’on appelait autrefois la forme de corps, qui permet de s’adapter à toutes les situations.

Ce premier cours a d’abord été une prise de contact, une évaluation du niveau du groupe. Il m’a permis de donner quelques conseils individuels ou collectifs et surtout de proposer des éducatifs qu’il est possible de travailler sous forme très fluide lors de chaque cours en fin d’échauffement pour entrer dans le mouvement, et en fin de séance dans un but de relaxation.

Quelques conseils à l’issue de ce premier cours :

-         Uke et Tori : pendant toute la durée d’un exercice, le mouvement est continu, il n’y a aucune pause de Tori ni des Uke. Rechercher fluidité et modération.

-         Uke : porte des attaques "continues", il poursuit son action même quand Tori a commencé à agir. Les attaques lourdes, bloquées ou sans conviction ne permettent pas à Tori de travailler convenablement. Le rôle de Uke n’est pas de lutter contre Tori ni de chercher à le contrer mais d’être disponible sans être neutre ni indifférent.

-         Tori : est en garde, entre dans l’attaque, utilise des postures basses, recherche les sensations "action-réaction", va au-devant de Uke qui hésite à attaquer.

-         Un défaut assez courant consiste à sauter pendant l’exécution de O Irimi : rechercher la sensation des pieds qui frôlent le tatami pendant toute la durée de l’exercice.

-         Un point faible : le manque d’endurance. On ne travaille pas en apnée, la respiration est un point important de l’action, elle se situe dans l’abdomen, les expirations sont profondes.

-         En résumé : répétez ces exercices calmement, en recherchant la fluidité à l’aide d’amples mouvements respiratoires. Concentrez-vous sur le rôle du regard.

À propos de la fiche pédagogique : son contenu représente plusieurs heures de cours. J’ai noté en noir ce qui a été étudié lors du premier cours et en bleu ce qui peut être mis en application d’ici le cours du 4 janvier. Bien entendu, je ne prétends pas détenir la vérité et j’attends vos remarques avec intérêt. Il doit être possible d’adresser directement des observations à partir du Blog.

En conclusion : je recommande de toujours travailler sous cette forme de type randori, d’abord avec un seul partenaire, le temps d’assimiler l’aspect technique puis avec 2 ou 3 partenaires qui attaquent de façon continue à droite et à gauche.

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8 décembre 2005 4 08 /12 /décembre /2005 14:27
Thème : Savoir se déplacer en harmonie (Kamae, Tai Sabaki, Zanshin) randori esquive avec O IRIMI
Thèmes abordés : vigilance de la part de Tori et de la part de Uke, fluidité, mobilité
 

Déroulement de la séance

Échauffement classique, étirements
Étude théorique de O Irimi
  • forme standard
  • entrée comme pour Mukae Daoshi avec pas glissé en croisant le pied avant vers l’intérieur
  • entrée comme pour Robuse avec pas glissé du pied avant vers l’avant
 
Exercices de base sous forme de randori esquive avec attaques attendues :
  • en défense contre Ura Yokomen Uchi avec 1 puis 2 puis 3 partenaires
  • en défense contre Omote Yokomen Uchi idem

Thèmes développés :

  • vigilance de Tori, importance du regard avec 2 partenaires, organisation de l’espace avec plus de 2 partenaires
  • vigilance de Uke pour éviter les temps morts, importance de l’intention de porter une attaque pour rendre Tori conscient de ses éventuelles erreurs
 Exercices d’application avec 1 puis 2 puis 3 adversaires :
  • Ura Yokomen Uchi Ushiro Kata Otoshi (variante Ushiro Kiri Otoshi)
  • Ura Yokomen Uchi Mukae Daoshi
  • Omote Yokomen Uchi Shiho Nage
  • Ura Yokomen Uchi Robuse
  • Omote Yokomen Uchi Kataha Otoshi
  • Ura Yokomen Uchi Yuki Chigae
 Techniques complémentaires :
 
 
 Omote Yokomen Uchi
  • Kote Gaeshi
  • Mukae Daoshi
  • Kataha / Ura Kataha
  • Do Gaeshi
  Ura Yokomen Uchi
  • Kote Gaeshi
  • Hiji Gaeshi
  • Ude Garami
  • Ura Kataha
Application sur attaques inattendues avec 2 puis 3 adversaires :
  • Randori esquive
  • Randori technique
Randori en cercle (démonstration du Randori canalisation puis du Randori technique par les Yudansha)
 
Retour au calme :
  • sautillements et étirements
  • Mokuso (essayer de chasser les pensées pendant 1 ou 2 minutes).
 
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3 décembre 2005 6 03 /12 /décembre /2005 18:33

 

Calendrier des interventions

à Saint Léger Du Bourg Denis

 

 

 

 

 

Mercredi 7 décembre : Savoir se déplacer en harmonie (Kamae, Tai Sabaki, Zanshin)

Mercredi 4 janvier : Savoir entrer (le Ma Ai, de la distance To Ma à la distance Ma)

Mercredi 1er février : Savoir utiliser la force ( la distance Chika Ma, du Te Hodoki au mouvement)

Mercredi 1er mars : Te No Michibiki, déséquilibre dans le plan sagittal (Nigiri Kaeshi)

Mercredi 22 mars: Te no Michibiki, déséquilibre dans le plan scapulaire (Oshi Kaeshi)

Mercredi 3 mai : Emono Waza (utilisation des armes : tanto, tambo, bo)

Mercredi 7 juin : synthèse, bilan de la formation

 

 

Ces cours, ouverts à tous, proposent une formation technique et pédagogique sous forme de thèmes de travail pouvant être développés dans l’intervalle du mois qui sépare 2 cours.

Chaque thème pourrait être développé sous forme de cours complémentaires à des dates et en des lieux à déterminer. Un dossier pédagogique décrivant ces thèmes de façon théorique et pratique est disponible sous forme de fichier Word et pourrait être remis aux professeurs intéressés et qui auront participé à l’ensemble des cours.

 

 

André TELLIER

 

 

 

 

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Sondage

"Que peut apporter un livre, parallèlement à la pratique?"

Cette question vous inspire-t-elle? Utilisez-vous le petit manuel gris? Qu'en pensez-vous? Que souhaiteriez-vous trouver dans un nouveau manuel? Vous pouvez insérer vos commentaires en cliquant sur Questions/Réponses ou m'adresser un message en cliquant sur le lien Contact(écrit aussi en tout petit, en bas de page...)
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Du livre et de son usage

Brèves

Vous vous gaussez volontiers de ces petits vieux qui traînent leur arthrose sur le tatami... Vous doutez de leur efficacité...

Alors, allez voir , tout en bas de la page. Et après, vous direz : " Respect, l'Ancien ! " 


C'est la rentrée?

23 septembre, c'est l'automne. Non, c'est la fête à Neuneu, ça mitraille dans tous les coins. Vous ne le saviez pas? Tuer est aussi un loisir.



En quelle année le Cera a-t-il été créé?

Parution au Journal Officiel N°13 du 16 janvier 1975, page 685 :
19 décembre 1974. Déclaration à la préfecture de police. Cercle d'étude et de recherche sur l'aïkido. Objet : étude et recherche des différentes techniques et leur pratique au travers des différentes écoles pratiquant l'aïkido. Siège social : 103, avenue Parmentier, 75011 Paris.
Une histoire du Cera

 


Xavier-2.gif
Le nouveau coq dansa...


Pire de pire...
Beaucoup d'entre vous ont suggéré, suite au sondage sur Le livre et son usage
, l'édition d'un DVD présentant l'ensemble du programme sous forme de vidéos. Outil remarquable, en effet, sauf que...
Connaissez-vous le p2p, abréviation de peer to peer, qui pourrait se traduite par d'égal à égal? C'est un système qui permet de télécharger gratuitement toutes sortes de vidéos, mp3, etc...
homme-53.gif
Étant très curieux de nature, je suis allé voir ce qui s'y passe et, comme j'ai des idées très originales, j'ai lancé une recherche sur Aïkibudo. Et que croyez-vous qu'il se passa? J'ai trouvé un fichier intitulé Aïkibudo, tradition et évolution et il s'agit bien du contenu de notre cassette.
Alors, pensez-vous qu'il soit raisonnable d'investir beaucoup, beaucoup d'énergie et de moyens financiers pour éditer un document dont le contenu sera aussitôt en libre-service chez la Mule?